vendredi 11 juillet 2008

Tomates cerises au balcon, petits soleils dans ma tête

L'an dernier, ce furent les fraises, cette fois ci, ce sont les tomates qui nous occupent l'esprit et les mimines !

Un orage a bien failli avoir raison de nos mains vertes car tout d'un coup, Strasbourg s'est transformée en une gigantesque boite de nuit...

Soirée tempête:

Un boucan d'enfer, du vent qui te décoifferais les Bigoudaines à 900 bornes de là tellement il avait de la force et un éclairage digne des meilleurs light jockey... un vrai stroboscope cet orage.
Sans parler des litres de pluie tombés, qui me donnaient l'impression qu'une douchette géante coulait le long de nos fenêtres !

Bref, et mes (nos) tomates dans tout ça?????
C'est qu'elles étaient sur le balcon, et que le souffle du début de l'orage les a fait tomber. Quand on a compris quelle force il allait avoir cet orage, je me les suis imaginées écrabouillées, broyées et mes (nos) tomates en fumée !

Alors, j'ai bravé le vent (très très fort, si si) et la foudre (j'ai un peu beaucoup la trouille de me prendre un coup sur la cafetière) et les déplacées momentanément dans le salon.

Ben, fallait voir le tableau....
Je te les ai sauvées de justesse et à peine la fenêtre refermée, le déluge a frappé, on n'y voyait même plus le clocher de Saint-Pierre-Le-Jeune, pourtant à 100 m pile-poil de chez nous.

Et je me lamentais de n'avoir pas pu sauver mon (notre) basilic tandis que ma moitié se moquait de moi !

Quelle histoire !

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Ah!ces jardiniers qui ne vivent que par la météo!Par contre,je me demande si nous habitons dans la même zone géographique:un peu de pluie en permanence,un peu de vent,donc pas beaucoup de fleurs et encore moins de tomates(je n'en ai pas mis en fait cette année).Attention quand même aux orages(je ne plaisante pas).

Anonyme a dit…

Ps:dommage pour le basilic,là il ne faut pas se moquer...